L’Incroyable Histoire de Mademoiselle Paradis – Michèle Halberstadt

4ème de couverture
A dix-sept ans, Maria-Theresia von Paradis est un être d’exception : fille unique du conseiller de l’impératrice d’Autriche, pianiste virtuose, belle et aveugle.

Lorsque son père fait appel au célèbre Mesmer qui soigne par magnétisme, elle découvre la passion et toutes les émotions dont sa cécité la protégeait. Au siècle de Mozart et de Salieri, un roman lumineux où tout est dit des sentiments, du destin et de la liberté.

Mon avis
Ce livre m’a été confié dans le cadre d’un partenariat organisé par les éditions du Livre de Poche et du site Bibliofolie que je remercie tous deux chaleureusement. 

Sitôt arrivé chez moi par la voie postale, je l’ai attaqué. Je venais de terminer ma précédente lecture, légère et j’étais ravie de pouvoir me mettre directement à celle-ci. 

Je dois dire que j’ai aimé cette histoire, certes un peu courte à mon goût, qui m’a fait voyagé dans le temps et dans une partie de l’Histoire que je connais bien peu. 

Protégée de l’Impératrice d’Autriche, dans les bonnes grâces de Mozart, notre « héroïne » est atteinte très jeune dans sa santé et devient totalement aveugle.

Cette cécité subite n’étant pas acceptée par son père, elle subira durant toute son enfance une nombre incalculable de thérapies plus pénibles les unes que les autres, sans succès. 

Elle ne verra point, mais développera un don inné pour le piano, sa vie, dictée par ses notes. Elle sera rapidement virtuose.

Au moment-même où elle fait promettre à ses parents qu’ils ne s’acharneront plus pour la soigner, son père rencontre le Docteur Mesmer qui pratique le magnétisme. Je m’arrêterai là dans les explications sur l’histoire afin de ne pas gâcher le plaisir de ses futurs lecteurs. 

En effet, trop en dire dévoilerait bien trop vite les dénouements que ce soit sur le traitement mis en place, les liens parfois très forts entre les personnages ou également les évolutions musicales de Maria-Theresia von Paradis. 

J’ai eu une frustration en fermant la dernière page, c’est que cet écrit se dévore bien trop vite et se finit vraiment trop rapidement, sans détail, en allant droit au but. 100 pages de plus ne m’auraient pas dérangée, bien au contraire. 

Ce partenariat a été une jolie découverte.